3 juin 2007
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19:30
La cité s'est développée le long de l'axe Takhoukht - Boghni.
Vers Takhoukht, la partie située entre la route d'Agouni-Gueghrane et la montée vers Ouadhias-villages est largement construite alors qu'en 1973, il n'existait que deux ou trois habitations.
Vers Boghni, la ville s'étend maintenant jusqu'aux abords de Tizi'n Tleta.
Elle s'est également déployée dans la plaine en direction d'Agouni-Gueghrane. Les propriétaires issus de familles d'Adrar-Amellal, Taourirt-Abdallah et d'Aït-Berdjal entre autres ont fait ou font construire d'imposantes villas à plusieurs étages parfois inoccupés.
A ma question : "Pourquoi des habitations d'une telle taille ?", on m'a répondu ceci : "Nous ne voulons pas faire revivre à nos enfants ce que nous avons vécu au village." Argument certes légitime mais contestable dans la mesure où ces implantations se sont faites de façon anarchique par absence de plans d'occupation des sols.
Vers Takhoukht, la partie située entre la route d'Agouni-Gueghrane et la montée vers Ouadhias-villages est largement construite alors qu'en 1973, il n'existait que deux ou trois habitations.
Vers Boghni, la ville s'étend maintenant jusqu'aux abords de Tizi'n Tleta.
Elle s'est également déployée dans la plaine en direction d'Agouni-Gueghrane. Les propriétaires issus de familles d'Adrar-Amellal, Taourirt-Abdallah et d'Aït-Berdjal entre autres ont fait ou font construire d'imposantes villas à plusieurs étages parfois inoccupés.
A ma question : "Pourquoi des habitations d'une telle taille ?", on m'a répondu ceci : "Nous ne voulons pas faire revivre à nos enfants ce que nous avons vécu au village." Argument certes légitime mais contestable dans la mesure où ces implantations se sont faites de façon anarchique par absence de plans d'occupation des sols.