et
A partir d'Akbou (Petite Kabylie) : à partir de Tizi-Ouzou :
Pour en terminer, Méziane rappelle avec son charisme habituel que je serai toujours le bienvenu aux Ouadhias et qu'ici je suis chez moi. Il souhaite me revoir la prochaine fois, accompagné de mon épouse. Voeu acquiescé par tous les présents.
Récréation - Déjà la pause ! s'exclama l'un d'entre nous. - Oui, la pause pour la pose... photos bien sûr, répondis-je malicieusement.
Le week-end, à la belle saison, je partais avec mes collègues en balade sur les pentes de Kabylie et l’hiver, nous allions rendre visite à nos copains de Taguemount-Azouz.
Nacer me tend la carte d'identité que je lui avais faite pour se présenter à l'examen d'entrée en 6ème en Juin 1973. Il s'agit bien en effet de ma signature.
Au café "Mon Village" : Dans la rue :
D'AUTRES ET D'AUTRES ENCORE... A peine ai-je embrassé l'un, dit deux mots à l'autre, qu'un troisième tout aussi ravi fond déjà sur moi. Mon Dieu, quelle journée !...
A l'aéroport Houari Boumédiène, je suis accueilli par Mohand Amrane, mon correspondant sur internet et mon hôte durant le séjour, et par Saïd qui habite Alger. Ciel mitigé mais vives émotions.
Mohamed Saïd va tenter de faire chanter Brahim dont l'esprit est défaillant. Avec beaucoup de patience, il le met en confiance. Puis il entame le début d'une ritournelle apprise à l'école. Soudain Brahim répète avec lui et continue tout seul. Il a chanté...
Joie, joie et joie... A l'image du soleil qui nous gave de bien-être en ce jour mémorable, les visages épanouis expriment spontanément sous le coup de l'émotion la joie indicible de se retrouver.
Cette modernité indispensable à notre époque a modifié quelque peu le paysage des années 70/73 mais n'enlève rien au décor exceptionnel que le Djurdjura et les collines voisines nous ont habitués à contempler depuis toujours, mises à part ces décharges...
à TIZI : avec Merzouk dit Michel, ancien président de l'association Iwadiyen de Paris qui nous avait accueillis, mon épouse et moi, à leur 2ème fête annuelle le 12 Juin 2004.
Voyez comme notre ami Ramdane apprécie le couscous au poulet préparé par son camarade de classe Smaïl qui est avec nous bien sûr et qu'on remercie infiniment.
Saoulé de tant de réjouissances, je trouve quand même quelques instants pour appeler mon épouse handicapée, restée en Bretagne. Je lui fais part de l'ambiance des retrouvailles et de mes émotions.
Et comme cela ne suffit pas pour les besoins du coeur, on pose à nouveau pour graver ces instants magiques que l'on montrera à l'épouse, aux enfants, à la famille élargie.
Ah ! mais c'est bien sûr ! De la pâtisserie fraîche venue directement des Ouadhias-centre. Incroyable ! tout a été prévu. Commence alors la distribution sous des regards qui s'agrandissent d'envie et de plaisir.
à partir de Taguemount-Azouz :
Enfin arrive le temps du repas ; il est alors environ 13 h . Boudjema et Ahmed font le service. Voici de quoi rassasier les plus affamés : - salade de tomates, - couscous au poulet, - orange, - gazouze et eau. On mange, on discute, on rit. La fête des...
Slimane et Boussad évoquent à leur tour d'autres souvenirs.
A partir de Tizi'n Kouilal, Tikjda (Djurdjura) :
Puis le directeur de l'école me remet des cadeaux offerts par tout le groupe. Il insiste dans son discours de clôture sur le rôle d'éducateur des enseignants d'autrefois poursuivi par ceux d'aujourd'hui dans un élan de continuité.
Même les plus petits profitent de cette ambiance festive.
Chez Ahmed (au centre) qui est revenu du Sud juste à temps pour me rencontrer :
Chez Hamid (à droite) qui nous a préparé un succulent repas :
à Taourirt Moussa : avec la mère de Matoub Lounès, chanteur kabyle assassiné.